
Le temps se rit des méridiens, il s’écoule par un point. Il écoute les petits hommes venerer leurs erreurs, Les regarde se saouler, à coup de hache dans l’espace.
La vie flotte et s’écoule par un point, comme une fumée dans l’apesanteur.
L’homme pleure sur son incapacité, sa conscience, sa mémoire hoquetante. Il se veut le maître et divise son existence en pages qu’il tourne, de rage. Esclave de ses doutes, il oublie son instinct.
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